Réglementation, diplômes, moyens et résultats
"C'est en forgeant que l'on devient forgeron"

1 - Exercer la profession de généalogiste n'est pas réglementée, elle n'impose pas d'obligation de formation ni de diplôme.
Il existe donc deux sortes de généalogistes, ceux qui ont suivi une formation et ceux qui ont appris par la pratique.
Je fais partie du deuxième groupe. J'ai en effet appris sur le tas, en pratiquant.
Durant cet apprentissage "terrain", j'ai probablement dû essuyer tous les plâtres inhérents à la généalogie !
Cette école est très formatrice... l'expérience ne s'apprend pas dans un livre.
2 - Un généalogiste a l'obligation de moyens, pas celle de résultats.
D'où l'importance de la motivation, de la mobilité et de la ténacité de celui ou de celle à qui vous confierez la recherche de vos ancêtres.
3 - Un généalogiste doit savoir s'entourer de professionnels spécialisés.
La généalogie regroupe différentes disciplines, dont chacune requiert des compétences bien précises. (Traduction du Latin et des langues étrangères ou paléographie, par exemple). Nulle place à l'approximation pour qui veut avoir une réelle confirmation d'une filiation.
Bien que mon œil soit devenu plus affûté au fil des années de lecture d'actes, je ne m'autorise aucun doute.
En cas de besoin, je fais appel à des paléographes professionnels.
De même, je ne connais bien sûr pas toutes les langues étrangères et je ne me fie pas du tout à l'IA pour les traductions (qui sont souvent pour le moins plus que "hasardeuses").
Pour traduire les actes rédigés en langues étrangères, je fais donc également appel à des traducteurs professionnels.

Je suis bien entourée.
La traduction ou retranscription des actes courts et sans difficultés particulières, ne génèrera pas de coût supplémentaire.
Pour les actes de grande longueur et/ou pour ceux comportant des difficultés, un devis vous sera proposé, au réel de la facturation du professionnel. Vous seul choisirez la suite à donner.